La psychogénéalogie est une approche thérapeutique qui permet une meilleure compréhension de ses racines. Elle donne un nouvel angle de lecture de l’arbre généalogique et des liens familiaux. La lignée, les contextes, le lieu, les évènements, les métiers ou les prénoms sont autant de grilles d’analyse qui montrent l’impact mémoriel de l’histoire de nos ancêtres.
Sigmund Freud fut le premier à s’intéresser au principe de transmission d’inconscient à inconscient mais c’est Carl Jung qui mit en avant la mémoire transgénérationelle et la notion de synchronicité. L’approche systémique de l’École Palo-Alto (1950 USA) constate à son tour l’impact de la famille sur certaines pathologies. De fil en aiguille, d’autres psychanalystes développent ce sujet.
En France c’est Anne Ancelin-Schützenberger (psychologue) qui met en avant le principe du « syndrome d’anniversaire ». Elle retrace certaines de ses expériences dans le livre « Aïe mes aïeux »
Il y a très longtemps, c’est en écoutant une émission où elle était invitée que j’ai eu le déclic, une vraie révélation ! Je suis devenue généalogiste amateur et mon intérêt pour tout ce qui touche au transgénérationnel m’a amené à me former en psychogénéalogie auprès de Maria-Dolorès Sanchez qui propose des formations avec Agoracadémie et Laurent Bertrel : https://www.agoracademie.com